Je vous avais promis...
Souvenez-vous, je vous avais promis des articles sur mes voyages bloguesques...
Car cet été nous (la marsu's family) avons rendu visite à Dame Mélusine et à Cheyenne ! Si !
Alors avant de vous raconter par le détail ces aventures... sachez déjà que ce fut éminament sympathique.
Si je fais le point de mes rencontres jusqu'ici, il y a eu (pas forcément dans l'ordre que je suis incapable de retrouver) :
PPP, Languedefeu, Kajou et Lila et donc désormais Mélusine et Cheyenne.
Et c'est amusant parce que toutes ces personnes (oui, oui, il y a de vraies personnes derrière ces pseudo) sont très différentes (vraiment !), mais elles ont toutes un point commun : elles sont inclassables !
Bien sûr, nous sommes tous différents et établir un classement catégoriel de ses contemporains peut sembler illusoire ; pourtant...
Il y a des gens qu'on classe rapidement parfois en fonction de leur classe sociale, ou de la catégorie socio-professionnelle, parfois du fait de leur histoire...
J'avoue aussi que la plupart de mes contemporains m'ennuie.
Et bien, pas ceux là !
Pas un n'a eu un parcours rectiligne, du coup... ils ont plein de choses à raconter, dans plein de domaines.
En plus, ils sont tous (si !) très curieux (j'entends au sens de "ouverts").
Et passionnés !
Pas de ces passionnés pontifiants ou soporifiques, ceux qui vous abreuvent encore alors que vous n'avez plus soif depuis longtemps, pas de ceux qui vous parlent de leurs passions pour parler d'eux, encore et toujours plus.
Pour en revenir à leur particularité d'être "inclassable", ce n'est pas en soi une qualité ou un défaut, simplement... cela oblige à être attentif à l'autre.
Car, et je n'en suis pas fier, il m'arrive de manquer d'attention... parfois, je m'attends tellement au contenu et à la "qualité" de l'échange avec mon interlocuteur que... je ne fais pas attention à lui... j'attends que ça se termine...
J'adore qu'on m'oblige à ne pas "classer", que mon interlocuteur se dérobe à ce "rangement", je suis sûr qu'il y a une "vraie personne" derrière.
Et là, je n'ai pas été déçu !
Inquiet, mais pas déçu : je me suis souvent senti bien pauvre face à ces connaissances, à ces passions ; ravi, mais conscient de mes lacunes.
Avec tout ça, vous ne savez encore rien de ce qui s'est passé... c'est bêta parce que là... il est tard ! Bonne nuit !